Chers membres,
Au cours des deux dernières semaines, les comptes rendus sur la vaccination de masse ayant actuellement cours au Canada et partout dans le monde dominent dans les bulletins de nouvelles et les manchettes. Il y a beaucoup de bonnes nouvelles, notamment le fait que près de 40 % de tous les Canadiens et Canadiennes aient déjà reçu au moins leur première dose d’un vaccin contre la COVID-19, mais il y a aussi des messages contradictoires, comme la mise sur pause de l’utilisation du vaccin Oxford-AstraZeneca.
Cette confusion se retrouve dans une certaine mesure dans les communications concernant le plan de vaccination de l’employeur. La vaccination des employés à l’administration centrale sera administrée par l’intermédiaire de la province, mais c’est l’employeur qui sera responsable de celle des employés en affectation à l’étranger, des personnes à leur charge et du personnel recruté sur place. Nous sommes conscients que cela pose un énorme défi sur le plan de la logistique, en particulier la coordination d’un grand nombre d’agences, de ministères et d’administrations, et le fait que des doses de vaccins aient déjà été livrées à 66 des 129 missions, 49 d’entre elles ayant accès à des services dans le pays, constitue une très bonne nouvelle. On espère que d’ici la fin de mai, des doses de vaccin auront été livrées à environ 80 % de toutes les missions. À présent que le vaccin Pfizer a été approuvé pour les enfants de 12 à 18 ans, l’employeur collabore avec l’ASPC et Santé Canada afin d’élaborer une stratégie d’immunisation des personnes à charge, mais il n’a pas encore de plans concrets à communiquer.
Nous examinons également des directives à l’intention de ceux et celles qui sont sur le point de se rendre en affectation et qui ont peut-être déjà reçu une première dose de leurs autorités de la santé publique provinciales. Ici encore, aucune stratégie n’est en place pour le moment, mais le groupe de travail travaillera à établir des lignes directrices. Comme toujours, nous continuons à presser l’employeur de donner des précisions et nous nous empresserons de vous transmettre l’information dès que nous l’aurons reçue. Toutefois, comme chaque mission est différente et exigera sa propre solution, votre mission et votre direction géographique restent vos premiers points de contact pour obtenir les renseignements le plus exacts concernant votre cas particulier.
Au cours des dernières semaines, plusieurs membres ont communiqué avec moi pour me signaler que leurs comités de santé et sécurité au travail (SST) à la mission sont inactifs. J’ai soulevé la question à la rencontre de mercredi du Comité national de consultation patronale-syndicale et demandé quel type de soutien et de ressources existe pour aider les missions à réactiver ces comités de sorte qu’ils puissent s’acquitter de leurs responsabilités à mesure que nous commencerons à retourner sur les lieux de travail. L’employeur va examiner la question et il fait appel à notre collaboration afin d’aider à identifier les missions visées. Étant donné que la santé et la sécurité au travail sont une responsabilité partagée de l’employeur et des syndicats, il s’agit aussi d’une belle occasion pour les membres de s’engager en se renseignant sur les activités et la composition de leurs comités locaux et en leur prêtant main-forte, le cas échéant. Si vous êtes dans une mission où votre comité de SST pose des problèmes, veuillez nous le faire savoir par courriel à info@pafso.com.
Nos activités ne se limitent pas à la pandémie. Par exemple, dans le cadre des efforts constants que nous déployons pour accroître l’égalité et l’inclusivité, l’APASE a chargé une analyste des politiques de procéder à une analyse intersectionnelle (ACS+) de notre convention collective en vigueur. Victoria Epton, étudiante à la Norman Patterson School of International Affairs, consacrera son été à examiner et à évaluer l’environnement opérationnel actuel du groupe FS et à cerner les incidences différentielles sur les divers segments de nos membres, le cas échéant. L’analyse de Victoria sera cruciale pour les décisions que nous serons appelés à prendre en matière de défense des intérêts, de politiques et de négociations. Elle aidera à faire en sorte que nous tenions compte le mieux possible de tous les facteurs de genre et d’inclusivité. Nous avons hâte de vous communiquer ses conclusions plus tard cet été.
Seasonova Consulting a pour sa part achevé son évaluation du projet pilote de présidence à temps plein (PPTP). Je suis heureuse de vous signaler qu’ils ont conclu que le projet PPTP a rempli son mandat et que la grande majorité des membres estime que le poste à temps plein est avantageux pour l’APASE et veulent le voir devenir un élément permanent de notre structure. Cependant, il reste encore des questions, notamment le coût définitif et les amendements requis aux Statuts, à examiner avant que le Comité exécutif puisse vous soumettre une recommandation définitive pour fins de vote. Au cours des deux prochains mois, nous consulterons de nouveau les membres et préparerons une trousse de documentation qui vous permettra de prendre une décision éclairée sur l’avenir de l’APASE.
La semaine dernière, dans le cadre de notre série de petits déjeuners virtuels, nous avons eu une discussion sur le réseautage créatif en période de pandémie animée par Stewart Wheeler, chef du protocole du Canada. Pour ceux et celles qui n’ont pu y participer, nous avons téléchargé un enregistrement de la séance sur notre canal YouTube. Vous pouvez le visionner ici.
Nous nous attendons à ce qu’un certain nombre de nouveaux FS-01 soient confirmés comme membres de l’APASE d’ici quelques mois. Lors de notre prochain petit déjeuner de l’APASE le mardi 8 juin à 08h00, heure d’Ottawa, nous tiendrons une table ronde sur ce que nous aurions aimé savoir au moment de notre adhésion. Si vous avez des perles de sagesse à contribuer, puisées au fil de votre carrière, veuillez remplir le formulaire et envisager de vous joindre à moi comme paneliste. Cliquez ici pour vous inscrire au petit déjeuner.
Je suis également heureuse de vous signaler que le deuxième numéro du nouveau bout de papier est presque achevé qu’il devrait paraître le mois prochain. Si vous n’avez pas encore reçu votre exemplaire du numéro de mars, veuillez communiquer avec le siège social pour vous assurer que nous possédons votre bonne adresse courriel personnelle. Je suis ravie de voir que bout de papier poursuit sur sa lancée de plusieurs décennies. Il est une importante vitrine pour notre profession et il dépend de vos contributions, vous nos membres. Si vous souhaitez partager une expérience, exprimer une opinion ou raconter une histoire, veuillez communiquer avec notre directeur de la rédaction, Eric Schallenberg, pour discuter des détails.
Et, comme toujours, si vous avez des questions ou préoccupations au sujet de votre situation particulière au travail, n’hésitez pas à communiquer avec notre directrice générale, Kim Coles. Elle s’empressera de vous mettre en contact avec l’un ou l’autre de nos conseillers en relations de travail. Pour toute autre question, il suffit d’envoyer un courriel à info@pafso.com en tout temps, et quelqu’un communiquera rapidement avec vous.
Je serai en congé la semaine prochaine, et nous n’aurons donc pas notre pause-café habituelle du mercredi. Cependant, si vous désirez vous joindre à nous le mercredi suivant à 10h30, heure d’Ottawa, il suffit de cliquer ici. Si votre fuseau horaire vous empêche de vous joindre à nous à cette heure‑là, envoyez-moi un courriel pour voir si nous pourrions organiser une séance convenable pour vous après mon retour.
Depuis le tout début, l’information est la clé pour composer avec cette pandémie. Pendant plus d’un an, le monde a réagi et s’est adapté à des circonstances en perpétuelle évolution. En outre, à mesure que de nouveaux faits surgissent, les messages, les politiques et les directives changent. Depuis mars de l’année dernière, nous nous sommes engagés à garder ouvertes les voies de communication avec vous, nos membres, afin de vous transmettre l’information la plus limpide, la plus exacte et la plus opportune possible. Dans cette optique, je vous reviendrai dans deux semaines.
Dans l’intervalle, prenez soin de vous et des autres.
Cordialement,
Pam Isfeld
Présidente